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07 AVRIL 17H. TOURS : QUELLES NOUVELLES, HONORE ?

Bonjour,

Le PROMETHEATRE aime BALZAC, et l’intérêt pour son œuvre gigantesque est partagé avec le public tourangeau cette saison encore.

Après La COUSINE BETTE en 2019 (avec le soutien de la ville de TOURS), Laure Mandraud et Yannick Nédélec vous proposent un rendez-vous par mois d’octobre 2023 à mai 2024 pour découvrir… les nouvelles, bien moins connues que les romans !

Quelles nouvelles, Honoré ?

La cinquième de cette série de lectures théâtralisées aura lieu le dimanche 07 avril à 17 h au PLLL (Patronage Laïc La Riche Lamartine)

86bis rue Georges Courteline, avec une nouvelle de 1831: “Madame Firmiani”

La participation est libre et le café (ou le thé) offert ! (Apportez simplement votre tasse ou verre recyclable!)

Nous serons très heureux de vous accueillir en costumes balzaciens pour cette découverte d’une partie méconnue de l’œuvre du célèbre auteur tourangeau.

N’hésitez pas à réserver vos places au 02 47 75 13 00

A très bientôt,

Pour le Prométhéâtre,

Constance BOUGERET

En 1832, quelques vives répliques au sujet des Contes drôlatiques, dont Balzac souhaite imposer la lecture à George Sand, marquent les premiers échanges entre les deux jeunes écrivains : “- Vous êtes un indécent ! – Et vous, une bête !” Une relation de camaraderie et d’admiration mutuelle commence : “Oui, oui, décidément, Balzac aura tout l’avenir qu’il rêve ; il comprend trop bien ce qui n’est pas lui, pour ne pas faire de lui-même une grande individualité.” Au fil de leurs vies, leurs différences s’affirment. Si le goût du luxe amènera Balzac à des dépenses extravagantes, George Sand restera la sobre châtelaine de la demeure de Nohant. Sur le plan politique, Balzac embrassera la cause royaliste quand Sand se consacrera corps et âme à l’avènement de la République. Qu’importe ! Ces deux géants de la littérature partagent la plus grande des passions, écrire, encore et toujours ; intempérant de travail, ils se critiquent, se dédicacent des livres, manquent toujours d’argent, luttent contre les éditeurs, vivent des histoires d’amour plus ou moins désastreuses…mais surtout, restent liés par une grande idée, celle de refuser, ce qu’ils appellent déjà,  la « littérature industrielle »… 

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