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AUX PORTES DE LA TOURAINE
Les sculptures de l’étrange
La carte des idées de balades aux portes de la Touraine
Les Alpes MancellesDes peintures murales uniques au mondeIl y a la grande époque des XIXe et XXe siècles, auparavant, il y a un premierchapitre, qui dure près de huit siècles, un modeste prieuré, d’une douzaine de moines tout au plus.Notre village, c’est une vedette de cinéma !La Maison de « Jour de Fête » retrace l’aventure du film « Jour de Fête », la rencontre entre Jacques Tati et les habitants de Sainte-Sévère-sur-IndreCe grand établissement thermal, inauguré en 1932, fit la fierté de la Société Thermale de La Roche-Posay. Pensé par un grand architecte du moment « Allengry », ses notes orientalistes lui donnent une architecture en vogue pour l’époque.Les origines du Lude remontent au Xème siècle.Qui a sculpté quand? Mystère… Résoudrez-vous l’énigme? A ce jour, aucune certitude et pourtant les sculptures existent!…« Un château sous un château » en Val de Loire !L’Hélice Terrestre de l’Orbière 16 L’Orbière, 49350 Gennes-Val-de-LoireLe circuit-découverte Jeanne de Laval invite à parcourir la ville et ses mille ans d’histoire : des ruines du château au musée Joseph-Denais, en passant par la place Jeanne de Laval, l’église Notre-Dame, les halles, l’ancien hôpital, les hôtels particuliers… Le site de Troglodytes et Sarcophages fait partie des sites troglodytiques incontournables dans le Saumurois et l’Anjou. Il permet d’en comprendre les différents usages successifs depuis le 5° siècle 50 activités dans la VienneVisitez le Grand PoitiersLa Cathédrale Saint-Pierre est exceptionnelle par : ses dimensions, sa forme d’église-halle, son chevet plat.Moderne, clair et chaleureux, l’Espace automobiles Matra, ouvert depuis mai 2000 sur son site actuel, est devenu un lieu incontournable. Cet unique musée officiel de la célèbre marque, vous accueille sur plus de 3000 m².L’Horloge astronomique de la cathédrale de BourgesBienvenue au château d’OironMusée de SologneDécouvrez VierzonDécouvrir la campagne berrichonne à bord d’un authentique train à vapeur 1900 ou d’un autorail des années 1980Demeure de l’illustre Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, diplomate hors pair et ministre de NapoléonL’évolution de l’industrie automobile française sur près d’un siècle. Moulins-sur-Cephons, première habitation artenacienne connue en France.Occupant un site stratégique sur les bords de l’Anglin, le site existe depuis l’époque préhistoriqueLe Roc aux sorciersDécouvrir le Perche et le Haut VendômoisLe château de Fréteval était un site militaire dépendant du seigneur de Meslay-le-Vidame près de Chartres La Tour de Grisset est le vestige d’une ancienne cella (unique en Europe du nord) d’un temple gallo-romain sur le site de Grisset.Le pilier d’Yzeures appartient à un ensemble de blocs antiques découverts à la fin du XIXeMusée Mado RobinBienvenue au site gallo-romain de SanxayVestiges du théâtre gallo-romain d’Argentomagus à Saint-Marcel
Le fanum de Fréteval à 70 minutes et 75 km au nord-est de Tours :
Le fanum de Fréteval est un élément caractéristique d’ensemble monumental gallo-romain, exclusivement présent dans les trois Gaules. Il est le seul encore en élévation, et peut-être le seul du nord de la Gaule dont la voûte de briques demeure toujours en place. Sa construction représente un bon exemple d’architecture gallo-romaine adaptée aux ressources du site, associant des lits de silex liés au mortier avec des arases de briques. Des fouilles menées dans les années soixante ont révélé un ensemble thermal et une série de structures à la fonction indéterminée. Dans les années 1987, la trace d’un théâtre aurait été repérée. Ces éléments permettent d’avancer deux hypothèses sur la nature du site. Soit le fanum est lié à une importante villa dont seule la partie thermale a été mise au jour ; soit il s’agit d’un conciliabulum, hypothèse plus vraisembable en raison de la taille de la cella.
Eglise Notre-Dame de Coussay-les-Bois à 60 minutes et 85 km au sud de Tours
À l’intérieur l’église Notre-Dame surprend encore : elle est la seule église du Poitou, avec celle de Fontevraud (diocèse de Poitiers jusqu’à la Révolution) dont la nef soit couverte de coupoles. La nef avait sans doute été prévue initialement comme charpentée. Puis, peut-être sous l’influence de Fontevraud qui avait fondé à La Puye un important prieuré, on implanta des piles contre les murs pour supporter les coupoles.
Curieusement, c’est en m’intéressant à Yolande d’Aragon, la prodigieuse belle-mère du Dauphin, qui monta de toutes pièces l’Affaire Jeanne d’Arc et qui possédait le château de Baugé, que je me suis heurté au mystère des “clochers tors”. En effet, à quelques lieues au nord de Saumur, il existe cinq églises, dont les clochers présentent l’étrange caractéristique d’être littéralement “vrillés”. Disputes de spécialistes
Ces tours énigmatiques sont groupées dans un petit pays charmant – le Baugeois – où s’est également déroulée une célèbre bataille, qui vit l’armée française, sous la conduite du Dauphin, écraser les Anglais, le 22 mars 1421, victoire que les historiens ignorent superbement, Dieu sait pourquoi ?
Les “clochers tors” ont suscité de nombreuses querelles entre spécialistes, se voulant plus informés les uns que les autres. Mais on ne m’enlèvera pas de l’esprit qu’en l’occurrence, certains silences se révèlent particulièrement éloquents si j’ose dire ! En fait, nul ne connaît la vraie raison de ces remarquables anomalies, qui marquent le paysage, mais ne retiennent guère l’attention des cohortes d’automobilistes survoltés. Jusqu’ici, quantité de chercheurs ont en vain tenté de percer le secret de ces insolites architectures. D’après certaines statistiques, il existerait 79 clochers “tordus” en Europe – 35 en France, 19 en Allemagne, 8 en Autriche, 8 en Belgique, 3 en Angleterre, 2 au Danemark, 1 en Italie et 3 en Suisse – dont l’immense majorité se présente sous forme octogonale. Sur le total, 46 flèches “tournent” de gauche à droite, alors que 26 “virent” de droite à gauche. Et l’ensemble de ces mouvements giratoires ne dépasse jamais le huitième de tour, ce qui – sur pareille hauteur – ne représente qu’un pourcentage marginal, suffisant pourtant pour retenir l’intérêt d’un observateur moyen.
Où est la vérité ?
Les méthodes restrictives, voire ésotériques, utilisées jadis pour la coupe et le séchage des bois, n’ont nullement empêché les charpentes de “vriller”, pas plus d’ailleurs que les procédés modernes, qui permettent d’abattre des arbres quasi en toutes saisons et d’utiliser des poutres à peine sciées. On notera qu’il existe des “tordus” de tous les âges. Il va de soi que les villageois, voyant leur clocher prendre de curieuses allures, ont échafaudé de truculentes légendes. Presque chaque bourg possède la sienne. L’imagination populaire s’y donne libre cours et la plupart d’entre elles évoquent la main des fées ou tournent autour de facéties du diable, qui aurait – pour de multiples raisons – mis à mal l’édifice religieux local. D’autres font état de noces où, pour mieux contempler la fête, la flèche se serait courbée et le Ciel aurait éternellement puni sa curiosité… Plus intéressante serait l’influence du vent, qui aurait exercé une sorte de torsion, à force de souffler dans la même direction. Cette hypothèse me semble bien hasardeuse et ne s’expliquerait que dans le cas de charpentes légères et fragiles… et encore! Quant au bois trop frais – qui se tord de gauche à droite en vieillissant – il ne résoud pas tous les problèmes, il s’en faut de beaucoup. D’aucuns ont évoqué la pluie, à la suite de la perte d’ardoises, d’autres ont prétendu que certains charpentiers “arrosaient” un peu trop leur ouvrage… sur place! Tout ceci reste, bien entendu, à démontrer. Un “ésotéricien” imaginatif s’est donné bien du mal à élaborer une thèse farfelue, mettant à contribution la Lune et ses pouvoirs attractifs et magiques!
Les Compagnons
A mon modeste avis – si quelque phénomène a pu se produire dans l’un ou l’autre cas pour l’une des raisons ci-dessus invoquées – l’œuvre géniale des “clochers tors” revient aux Compagnons et à eux seuls. Dans un domaine aussi complexe que la charpente, il est exclu d’attribuer à d’autres qu’à des spécialistes, détenteurs de secrets immémoriaux, une œuvre d’une aussi grande exigence, doublée d’une invraisemblable régularité. Certaines de ces flèches ont pu se courber ou s’affaisser sous le poids des ans ou la violence des éléments (comme celle du clocher de Plougrescant que nous avons montrée dans le N° 41 de Science & Magie). Mais qu’un clocher devienne “tors” se révèle autrement difficile. On en connaît qui sont “vrillés” jusqu’à mi-course, puis droits ensuite. Du grand art ! Par leur dextérité, les Compagnons du Bois ont voulu montrer à tout un chacun qu’il n’est rien d’impossible à celui qui – possédant des procédés de fabrication réservés à une toute petite élite – est en mesure de réaliser ce que le vulgaire ne songera même pas à comprendre… (Sylvio Curmondo)
Gennes-Val-de-Loire à 1H10 à l’ouest de Tours
2 musées à visiter à Saint Clément des levées : – le musée de la Marine de Loire en Anjou en saison estivale avec toute la collection de marine de Loire confiée par *le château de Montsoreau * – le musée des traditions * Loire et Métiers *(L’exposition des vieux métiers est visitable toute l’année sur réservation pour les groupes).
Bienvenue au Manoir de Beauregard superbement situé en bord de rivière a l’orée de l’ancien village de Cunault dans la vallée de la Loire.
Saint-Marcel à 1h52 au sud-est de Tours
Saint Marcel est un village où les vieilles pierres rassurent, mais où on voit loin devant soi sur le plateau des Mersans. Un village dynamique, avec ses commerces, son école et ses nombreuses associations. N’hésitez pas à venir flâner dans ce si joli village…. peut-être un jour y resterez vous !