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LA CIRCULATION A TOURS (MARS 1982)

Tours donne l’impression au voyageur qui la traverse pour la première fois d’une ville facile à comprendre. Une ville qui vue du ciel, à l’air d’une arbalète. Les quais de la Loire en forment la corde, les boulevards Beranger et Heurteloup le fût, le pont Wilson, la rue Nationale et l’avenue de Grammont la flèche. Tours, depuis toujours ville-carrefour, s’est établie entre deux cours d’eau tumultueux le Cher et la Loire. De tous temps, le plan des voies de circulation à dû tenir compte de cet environnement fluvial qui contribue largement aux encombrements imposés par notre société (le magazine de Touraine n°2 mars 1982).

Avril 1978 : le vieux pont Wilson démissionne. Mars 1980 : pendant plusieurs jours, les bus ne circulent plus. Brusquement, les feux de l’actualité locale se braquent sur les problèmes de circulation et de transport dans la cité. Il y avait urgence. Il y a toujours urgence…

L’époque est à l’urbanisme, mais l’urbanisme n’est ni une science, ni une technique. Plutôt une tentative de résoudre par le moindre mal des situations délicates et complexes qui empoisonnent notre vie quotidienne. Tours n’échappe pas à la règle. Son extension récente l’a conduite à devenir plus qu’une ville, un conglomérat de centres urbains.

Etablie entre deux coteaux et deux cours d’eau, les problèmes de franchissement s’ajoutent aux difficultés de la circulation au cœur de la ville. Carrefour de communications, par droit de naissance géographique, Tours se débat contre l’asphyxie menaçante. Ville-autodrome où une voiture en cache toujours une autre.

Comment se traduira demain cette inquiétante circulation au goût de bouchon. La solution-miracle existe-t-elle ? Allez, circulez !

LA QUESTION DES MOBILITES AUJOURD’HUI ILLUSTRE BIEN LA DIFFICULTE A DEVOIR GERER SIMULTANEMENT PLUSIEURS ENVIRONNEMENTS : BATI, NATUREL, ECONOMIQUE ET SOCIAL

Quelles sont les villes françaises les mieux adaptées aux piétons ?

Alors que certaines villes, grandes ou petites, font tout pour rendre la vie plus agréable aux piétons, d’autres au contraire y sont plus hostiles. Si les grands espaces et le calme de la nature restent la quête numéro un des randonneurs, il peut également être agréable de marcher en ville…mais pas partout. Ce mardi 7 août, la Fédération française de la randonnée (FFR) a dévoilé son baromètre des villes les plus « marchables » de France. Établi avec les associations rue de l’Avenir et 60 millions de piétons, en partenariat avec le ministère des Sports, ce classement a été réalisé via un questionnaire adressé à la population de villes et communes de taille différentes. Seules les communes où plus de 40 personnes ont répondu ont pu être intégrées au classement. Certaines villes se distinguent mais le ressenti global des marcheurs au niveau national reste « moyennement favorable ».

Première du classement, Acigné une petite commune d’Ile-et-Vilaine qui obtient une note globale de 15,56. Elle devance une autre ville de la région, Cesson-Sévigné, tandis que Magny-les-Hameaux, Mende, Le Rheu et Guyancourt complètent ce classement. Pour les grandes villes de plus de 200 000 habitants, Strasbourg prend la tête devant RennesNantesLyon et Bordeaux. Des communes que l’on retrouve d’ailleurs régulièrement dans le classement des villes les plus agréables à vivre. Carton rouge en revanche pour Paris et surtout Montpellier et Marseille, notées E et G (climat marche très défavorable) en bas du classement.

Parmi les villes moyennesChambéry, Bourges, Vannes ou Vincennes tirent leur épingle du jeu.

SOUVENIR : L’EPOPEE DE L’AUTOMOBILE EN TOURAINE
AU TEMPS DES DILIGENCES
L’ANCIEN TRAMWAY DE TOURS

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